Titre : | Soleil noir : dépression et mélancolie | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Julia Kristeva (1941-....), Auteur | Editeur : | [Paris] : Gallimard | Année de publication : | 1989 | Collection : | Folio. Essais num. 123 | Importance : | 264 p.-[2] f. de pl. | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-07-032515-3 | Prix : | 21,50 F | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Mélancolie Dans l'art Dans la littérature Deuil ( psychanalyse) | Résumé : | Ce livre traite des dépressions que nourrit un deuil impossible de l'objet aimé et perdu. En déniant le lien universel qu'est le langage, le déprimé nie le sens qui, pour l'être parlant, est le sens de la vie. Athée radical, le dépressif reste cependant un mystique : rivé à l'affect, la douleur et les larmes sont pour lui le pays secret d'une beauté aussi inaccessible qu'entière.Le sublime naît dans la mélancolie. La preuve ? Holbein, minimaliste macabre. Nerval, le Prince noir. Dostoïevski, persuadé que la soufrance est le but suprême de l'humanité, appelant le pardon. Et Duras, la femme-tristesse, qui rend contagieuses les figures de la dépression féminine dévoilées ici à partir de quelques histoires dites sur le divan du psychanalyste. |
Soleil noir : dépression et mélancolie [texte imprimé] / Julia Kristeva (1941-....), Auteur . - [Paris] : Gallimard, 1989 . - 264 p.-[2] f. de pl. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Folio. Essais; 123) . ISBN : 978-2-07-032515-3 : 21,50 F Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Mélancolie Dans l'art Dans la littérature Deuil ( psychanalyse) | Résumé : | Ce livre traite des dépressions que nourrit un deuil impossible de l'objet aimé et perdu. En déniant le lien universel qu'est le langage, le déprimé nie le sens qui, pour l'être parlant, est le sens de la vie. Athée radical, le dépressif reste cependant un mystique : rivé à l'affect, la douleur et les larmes sont pour lui le pays secret d'une beauté aussi inaccessible qu'entière.Le sublime naît dans la mélancolie. La preuve ? Holbein, minimaliste macabre. Nerval, le Prince noir. Dostoïevski, persuadé que la soufrance est le but suprême de l'humanité, appelant le pardon. Et Duras, la femme-tristesse, qui rend contagieuses les figures de la dépression féminine dévoilées ici à partir de quelques histoires dites sur le divan du psychanalyste. |
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