Titre : | Le pollen : outil d'étude de l'environnement et du climat au Quaternaire | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Anne-Marie Lézine | Editeur : | Paris : Société géologique de France | Année de publication : | 2008 | Collection : | Interactions, ISSN 1775-6650 num. ISSN 1775-6650 | Importance : | 1 vol. (VI-118 p.) | Présentation : | ill., couv. ill. en coul | Format : | 24 cm. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7117-5384-0 | Note générale : | Bibliogr. p. 46-50 et 109-114. Index | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Palynologie
Paléoenvironnement Quaternaire (ère géologique)
Paléoclimatologie Quaternaire (ère géologique) | Résumé : | Parmi les fossiles qui permettent d'étudier l'histoire de la Terre, il en est un très remarquable par sa taille et son aspect, c'est... le grain de pollen.
Il s'agit d'une cellule ne mesurant que quelques microns - voire quelques dizaines de microns - émise par les plantes à fleurs ou à cônes pour assurer leur reproduction.
De cette cellule - qui doit son nom au grec palè : poussière (ou farine, de paludein : répandre de la poussière) - seule l'enveloppe externe se fossilise. Le pollen présente une telle variété de formes que l'on peut aisément reconnaître la plante qui l'a émise et reconstituer finalement l'environnement végétal contemporain de l'échantillon géologique que l'on veut étudier.
Comme sa composition chimique très complexe lui permet de se conserver à travers les âges, le grain de pollen constitue un outil remarquablement efficace pour étudier l'histoire des plantes et leur évolution depuis leur apparition sur Terre.
Dénombrer les grains de pollen déposés au fond des lacs ou des océans et les identifier permet également de comprendre comment les paysages actuels se sont formés et comment les plantes se sont adaptées aux variations des climats anciens.
On voit alors tout l'intérêt de cette discipline des sciences de l'environnement car, en se référant au passé, on comprend comment les plantes s'adaptent aux changements climatiques, à quelle vitesse elles migrent vers des lieux plus favorables à leur reproduction et à leur développement et, enfin, par quelles plantes elles sont remplacées au gré de l'amélioration - ou de la péjoration - climatique. |
Le pollen : outil d'étude de l'environnement et du climat au Quaternaire [texte imprimé] / Anne-Marie Lézine . - Paris : Société géologique de France, 2008 . - 1 vol. (VI-118 p.) : ill., couv. ill. en coul ; 24 cm.. - ( Interactions, ISSN 1775-6650; ISSN 1775-6650) . ISBN : 978-2-7117-5384-0 Bibliogr. p. 46-50 et 109-114. Index Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Palynologie
Paléoenvironnement Quaternaire (ère géologique)
Paléoclimatologie Quaternaire (ère géologique) | Résumé : | Parmi les fossiles qui permettent d'étudier l'histoire de la Terre, il en est un très remarquable par sa taille et son aspect, c'est... le grain de pollen.
Il s'agit d'une cellule ne mesurant que quelques microns - voire quelques dizaines de microns - émise par les plantes à fleurs ou à cônes pour assurer leur reproduction.
De cette cellule - qui doit son nom au grec palè : poussière (ou farine, de paludein : répandre de la poussière) - seule l'enveloppe externe se fossilise. Le pollen présente une telle variété de formes que l'on peut aisément reconnaître la plante qui l'a émise et reconstituer finalement l'environnement végétal contemporain de l'échantillon géologique que l'on veut étudier.
Comme sa composition chimique très complexe lui permet de se conserver à travers les âges, le grain de pollen constitue un outil remarquablement efficace pour étudier l'histoire des plantes et leur évolution depuis leur apparition sur Terre.
Dénombrer les grains de pollen déposés au fond des lacs ou des océans et les identifier permet également de comprendre comment les paysages actuels se sont formés et comment les plantes se sont adaptées aux variations des climats anciens.
On voit alors tout l'intérêt de cette discipline des sciences de l'environnement car, en se référant au passé, on comprend comment les plantes s'adaptent aux changements climatiques, à quelle vitesse elles migrent vers des lieux plus favorables à leur reproduction et à leur développement et, enfin, par quelles plantes elles sont remplacées au gré de l'amélioration - ou de la péjoration - climatique. |
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