Titre : | Voyage autour du monde | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Bougainville, Louis Antoine de, Auteur ; Jacques Proust (1926-2005), Auteur | Editeur : | Gallimard | Année de publication : | 2010 | Collection : | Folio classique | Importance : | 477p. | Présentation : | ill.,couv.en coul.imag. | Format : | 18x11cm. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-07-037385-7 | Note générale : | bibliogr. | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Voyage autour du monde roman. | Résumé : | «Ce n'est pas l'usage à Taïti que les hommes, uniquement occupés de la pêche et de la guerre, laissent au sexe le plus faible les travaux pénibles du ménage et de la culture. Ici une douce oisiveté est le partage des femmes, et le soin de plaire leur plus sérieuse occupation... Les femmes doivent à leurs maris une soumission entière : elles laveraient dans leur sang une infidélité commise sans l'aveu de l'époux. Son consentement, il est vrai, n'est pas difficile à obtenir, et la jalousie est ici un sentiment si étranger, que le mari est ordinairement le premier à presser sa femme de se livrer. Une fille n'éprouve à cet égard aucune gêne ; tout l'invite à suivre le penchant de son c'ur ou la loi de ses sens.» |
Voyage autour du monde [texte imprimé] / Bougainville, Louis Antoine de, Auteur ; Jacques Proust (1926-2005), Auteur . - [S.l.] : Gallimard, 2010 . - 477p. : ill.,couv.en coul.imag. ; 18x11cm.. - ( Folio classique) . ISBN : 978-2-07-037385-7 bibliogr. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Voyage autour du monde roman. | Résumé : | «Ce n'est pas l'usage à Taïti que les hommes, uniquement occupés de la pêche et de la guerre, laissent au sexe le plus faible les travaux pénibles du ménage et de la culture. Ici une douce oisiveté est le partage des femmes, et le soin de plaire leur plus sérieuse occupation... Les femmes doivent à leurs maris une soumission entière : elles laveraient dans leur sang une infidélité commise sans l'aveu de l'époux. Son consentement, il est vrai, n'est pas difficile à obtenir, et la jalousie est ici un sentiment si étranger, que le mari est ordinairement le premier à presser sa femme de se livrer. Une fille n'éprouve à cet égard aucune gêne ; tout l'invite à suivre le penchant de son c'ur ou la loi de ses sens.» |
| |