Titre : | Le treizième homme : ou, Le commando des Bibans | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | ABDELLAH HACENE, Auteur | Editeur : | Alger: ENAG Editions | Année de publication : | 2005 | Importance : | 175p | Présentation : | ill | Format : | 15 x 17 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 9961-62-405-x | Langues : | Français (fre) | Résumé : | Tout en se préparant, Dehbia explique au jeune handicapé qu’elle avait souvent lorsqu’elle était fillette, accompagné son père dans la montagne. Elle connaît bien les sentiers qui conduisent au fortin. D’ailleurs, c’est mon rôle et mon devoir d’être auprès de ta grand-mère. Son fils a accompli tant de bonnes actions. Dis à mère Zhoua de bien se couvrir, les nuits sont fraiches. Merci, mille fois merci, Dehbia, Dieu te le rendra. Salem a pour la jeune femme un regard rempli de gratitude. Il se remémore la lecture d’un tract qu’avait apporté un fellah et qu’il avait déchiffré pour les hommes de la compagne. Il y avait lu « qu’il suffisait de mettre la Révolution dans la rue pour que le peuple tout entier se range sous sa bannière. » « C’est aujourd’hui que je comprends la philosophie de ce message ! » pense-t-il en trainant sa jambe brisée tandis qu’il va rassurer la vielle malade |
Le treizième homme : ou, Le commando des Bibans [texte imprimé] / ABDELLAH HACENE, Auteur . - [S.l.] : Alger: ENAG Editions, 2005 . - 175p : ill ; 15 x 17 cm. ISSN : 9961-62-405-x Langues : Français ( fre) Résumé : | Tout en se préparant, Dehbia explique au jeune handicapé qu’elle avait souvent lorsqu’elle était fillette, accompagné son père dans la montagne. Elle connaît bien les sentiers qui conduisent au fortin. D’ailleurs, c’est mon rôle et mon devoir d’être auprès de ta grand-mère. Son fils a accompli tant de bonnes actions. Dis à mère Zhoua de bien se couvrir, les nuits sont fraiches. Merci, mille fois merci, Dehbia, Dieu te le rendra. Salem a pour la jeune femme un regard rempli de gratitude. Il se remémore la lecture d’un tract qu’avait apporté un fellah et qu’il avait déchiffré pour les hommes de la compagne. Il y avait lu « qu’il suffisait de mettre la Révolution dans la rue pour que le peuple tout entier se range sous sa bannière. » « C’est aujourd’hui que je comprends la philosophie de ce message ! » pense-t-il en trainant sa jambe brisée tandis qu’il va rassurer la vielle malade |
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